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    Baking cake for women sake

     

    Il est 2h am, première heure de la journée de la femme. J'ai sorti mes ramequins du four, ça sent bon le chocolat à la maison.
    Peu de monde s'en soucie et peu de femmes peuvent croire aujourd'hui les disparités entre hommes et femmes un siècle en arrière.

    Le monde n'est pas parfait, certaines femmes encore sont misent à la porte de chez elles et se retrouvent à la rue sans leurs papiers, sans identité.
    Ces femmes sont recueillies dans des centres, on les forme, les aide à trouver du travail, un foyer et de l'écoute.

     

    Pour ces femmes nous allons faire une action simple mais enrichissante pour chacun "Baking cake for women sake"
    Ma participation aussi petite qu'elle puisse être est étonnante même pour moi ; J'ai préparé des fondants chocolat.
    Nous préparerons des gâteaux, nous les vendrons et verserons l'argent récolté à l'association "Solidarité Féminine".

    Je trouve cette action séduisante comme les femmes, acharnée comme les cœurs des femmes et bonne comme l'âme des femmes.
    Allé c'est notre journée, alors autorisez moi à croire à cela :) 


    Bonne Journée à toutes et à tous. 

     


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    Je vais parler en vrac étant pressée, j’ai du boulot à finir et je risque d’y passer encore qq heure.
    Je pense même que je suis malade (entre début de rhume ou d’angines ou d’estomac… je ne sais pas exactement) Mais j’y crois pas J pas trop envie de passer du temps à « écouter mes os » sous les couvertures et devant ma télé, oui oui même si c un bon film.

    N’ayant pas le temps ni l’envie de sombrer dans le coté morose de la vie, je préfère vous parler aussi encore un peu avant de finir la montagne de boulot sur les heures qui restent d’ici le WE.

    J’ai lu qq part aujourd’hui une phrase qui m’a interpellée « le drame c’est pas l’irréalisable mais l’irréalisé »
    Le drôle dans la vie, c’est qu’on a rarement le temps de s’en occuper ou de se poser trop de questions pour le différencier ; L’irréalisable pourrait être juste irréalisé, ou l’irréalisé c’est parce que c’est irréalisable, difficile de trancher, moi je crois qu’il faut suivre son intuition, l’appel de son cœur ou parfois tout bêtement faire confiance à la vie.

    Je ne sais pas trop si je fais confiance à la vie ces tps-ci, mais j’aime croire c’est une loterie car parfois on change de route pour des raisons externes et incontrôlables et surtt j’aime croire que c’est un jeu de carte car on te donne des cartes en main (éducation, situation financière, intelligence, intelligence émotionnelle, santé, beauté, gout et j’en passe) et à toi de faire ressortir le jeu gagnant.

    Apprendre à jouer la vie à jouer de la vie ce n’est pas donné à tout le monde.
    Certains se couchent tôt, d’autres en tirent le meilleur, d’autres ce qui les arrangent, d’autres ratent leur tour et certains demandent à être resservis (et là encore soit on s’enfonce soit on a tiré une carte meilleure)

    Certes ces derniers jours, j’ai eu une vague de personnes qui me racontaient leur vie, les mariés, les blessés, les parents, les révoltés de  la vie, les révoltés de la révolution, les conseilleurs, les boss, les avides de bon conseils (pro surtt vu que je ne fais plus bcp dans la psychologie humaine) les ennuyeux, les revenants. Ces jours-ci je me suis même assise avec mon ego, mon passé, mon quotidien, mes envies, mon ambition, mon cœur, mon cerveau et j’en passe.

    Résultats ? Je souris je suis en premier un être humain (être humaine pour les plus féministes d’entre nous on ne sait jamais), j’ai des cartes en mains et de l’expérience dans ce jeu de la vie, une ambition de la vie et des piliers auxquels je m’appui.
    Ma seule crainte dans vie c’est vivre avec des regrets mais comme a si bien dit Teo «les erreurs c’est humain (une seule majeure en plus et y a 2ans et qq mois) on ne peut regretter ce qui est hors de notre contrôle» et je dis oui et je vous le dit aussi, battez-vous pour votre cœur, battez-vous pour vos rêves, battez-vous pour un confort qui vous convient, battez-vous pour votre bien etre, battez-vous pour les gens que vous aimez, pour ce que vous est juste.
    Parfois aussi, sachez déposer les armes si vous buttez plus d’une infinité un mur. Mais avant de déposer les armes, ne vivez pas ds le regret et cette heure-ci je peux dire que je suis en paix avec moi-même… sauf si je finis pas le lancement du projet donc j’y retourne.

    Bonne nuit le monde.

     

    ps: le titre n'est pas reellement un titre, so don't bother c entre moi et moi


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  • Il fait beau, le soleil brille juste ce qu'il faut pour que ma route soit agreable.

    J'arrive devant la porte, j'ouvre avec mes clés et rentre sans m'annoncer. J'aime savoir que c'est aussi chez moi.

    Le dejeuner est servi à mon arrivée (ou presque). J'aime me dire qu'ils m'attendaient.

    On parle, on rigole, on se regale et sous le sourire de chacun, chacun tirait avantage à sa maniere de cette jolie reunion.

    Mes yeux se ferment, je dors. Je peux assurer que ce sommeil n'a pas d'egale, dans ce chez moi, mon corps est en paix.

    J'hesite à aller chercher le bouquin que je souhaite lire mais que je craints ne me reveille.
    Cela fait 1.5 ans que ce livre m'appelle et que j'aimerais lire. Ce livre nommé "Je reviens te chercher" raconte une personne qui abondonne son amour pour son ambition, mais un jour il va avoir 24h pour realiser et vouloir tout rattrapper. Ce livre selon son auteur parle du combat de l'homme contre son destin, peut-on etre plus fort que son propre destin?

    Je ne suis pas allée chercher le livre, j'ai eu la force de recuperer de quoi agrandir encore plus ma collection de DVD et de quoi flatter mon ego feminin :)

    En me promettant que je pourrais acheter ce livre à ma premiere heure de libre. 

    Ce genre de journées ne pouvait que se finir d'une maniere agreable et amicalement notre.
    Sortir avec l'amie avec qui on se connait plus de la moitié de nos vies. Nos discussions sont sinceres, on connait chacune sa faiblesses et chacune peut s'appuyer sur l'autre.

    Le temps passe trop vite mais bon, aucune de nous ne le realise.

    Sauf que mon tél sonne, mon pere, un pointe d'autorité qui me fait sourire et qu'il doit apprecier car je l'accepte.

    Je promets de rentrer, on paie la note, rentrons on nous disant que les amis de 15 ans quand on a meme pas 30 c'est une confiance dans la vie, c'est rassurant.

    J'ouvre cette porte avec mes clés, oui c'est bien chez moi aussi :)

    Je lance un film pour nous 3, je sais que nous allons dormir avant la fin, sauf si je trouve le film parfait qui fera que ma mere ne fermera pas l'oeil jusqu'à la fin j'aurais plus apprecié et été fiere de moi.

    Mon interieur chantonne, je reprend la route dans peu de temps. Le temps est gris, mon coeur moins.

    je repenserais au boulot que j'ai laissé, aux amis artificilles mais entertaining dans cette ville moins belle, aux habitudes qui font ma vie et aux ameliorations qui l'enchantent plus  :)

    Bon debut de semaine Bloggland.



    « Dépêchez-vous devivre, dépêchez-vous d’aimer. Nous croyons toujours avoir le temps, mais ce n’est pas vrai. Un jour nous prenons conscience que nous avons franchi le point de non-retour, ce moment où l’on ne peut plus revenir en arrière. Ce moment où l’on se rend compte qu’on a laissé passer sa chance… »

     "Je reviens te chercher"

     


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  • Ce soir je pouvais vous parler de comment j’ai changé de point de vue sur la Fraise devant la mosquée de ma rue ; Vous expliquer comment l’attention des gens qui m’entourent et m’aiment bien participe positivement à mon moral et négativement à mon … poids ; Je pouvais aussi parler de quel bien fait ça représente d’accueillir le premier homme de sa vie chez soi. Ce soir je pouvais aussi m’étaler sur comment la vie d’un couple serait meilleurs si chacun aimait l’autre comme il aurait être lui aimé. Respect close, Egoïsme out !


    Sauf que ce soir je souhaiterais tout simplement parler du BARCA et du REAL.
    Nooooo je plaisante :)

    Ce soir j’ai envie de vous parler de NEIL,
    Vous connaissez Neil ?
    Moi je pensais que Neil c’était un mot qui avait du sens car selon moi quand U2 disent (ou je crois qu’ils disent) « How to Neil » c’est un mot. However I was wrong, my listening isn’t THAT perfect.

    Alors Neil, selon mon dictionnaire d’anglais humain, c’est un nom propre, un nom de personne et d’humain. (Reverso a confirmé)
    Cette info m’a déstabilisée.

    J’entends cette chanson chaque matin de coup de barre, de blues, de pompe, ou au coup de 8h quand je suis encore loin du boulot.
    Cette chanson pour moi est énergisante, motivante et me fait sourire et relevé la tete. Sauf que cette histoire de Neil va changer la donne…

    En bonne fan de musique, je me suis rendue sur le site de Lyrics enlequel j’ai le plus confiance (je ne revele pas mes sources).
    Et Neil messieurs dame c'est KNEEL.
    how to kneel ... ou en francais : Comment se mettre à genoux.

    Donc ma chanson motivante est devenue une chanson de ... Respect ... de ... Soumission ?!
    Je devrais y surivre ..... 
     
    " All of this, all of this can be yours
    Just give me what I want and no one gets hurt... "


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  • Bonsoir Bloggland,

    Mon premier post de 2011 arrive en retard mais il faut dire que les choses se bousculent de manière non-maitrisable.
    Non-maitrisable ne rime pas forcément avec désagréable.
    Non-maitrisable rimerait plutôt avec "pilote automatique".

    Cette année je ne force rien, ne planifie rien, ne m'inquiète de rien. Je laisse faire.

    Imaginez-vous dans un petit chemin, que vous marchez. Vous avez égaré les gens qui vous entouraient. Vous n'avez pas le temps de vous inquiéter car une voix vous encourage à continuer votre route. Vous n'êtes pas essoufflé. Vous allez à destination. Votre tranquillité vous le fait sentir. Vous allez à destination. Au fond de vous vous êtes rassuré, rassuré car l'endroit où vous êtes est la route que vous aviez toujours imaginée. Vous pensez à ces personnes restées derrière vous. Vous pensez seront-elles là à mon arrivée. Y aurait-il d'autres gens sur votre route. La voix vous dit de lui faire confiance. La voix vous rappelle tout le chemin que vous avez déjà fait. La voix vous dit "continue et fait-le pour toi même". La voix vous fait oublier vos jambes qui se fatiguent. Vous ne vous êtes même pas rendu compte des égratignures sur vos jambes en heurtant les buissons. Vous marchez et vous êtes sure que c'est par là où vous devez aller.

    C'est comme ça que commence 2011.

    Zora est souriante. J'ai découvert la tranquillité. J'ai appris à ne plus m'attacher aux choses qui pouvaient me nuire. Ne plus m'attacher aux gens qui me retiennent de parcourir mon chemin. J'ai appris à y croire et "laisser parler leurs bouches folles". Garder foi en moi, mes convictions, mes rêves ... avec de la flexibilité et ce qu'il faut d'ouverture d'esprit. Je continuerais à prendre les chances qu'on me donne et je les ferais grandir de ma propre vision. Je n'en n'oubliais pas mes désirs, ce qui fait battre mon cœur ou ce qui m'attache à mes valeurs.
    Je ne crois toujours pas au dicton "qui m'aime me suive". Nous ne sommes plus dans l’Age où on périrait pour faire grandir les autres. Nous sommes dans les temps où "nous grandirons ensemble" (c'est la phrase d'un spot tv i guess).
    Pearl Jam eux avaient bien dit « I don't want to limp for them to walk »


    2011 ne fait que commencer et ce 2011 a commencé en me détachant de ce qui me reliait à mes années d'avant.
    Ce n'est pas un phrase pour faire joli et beau, mais faut croire que mon tél de 3.5ans m'a lâché, que mon ordinateur a supprimé ma vie de 5ans de son disque dur. Je recommence à 0. La voix me dirait peut être à ce moment-là "continue ton chemin, tu as dans ta tête et ton cœur ce que tu voudrais prendre avec toi". Et je continue mon chemin.

    Bonne nuit Bloggland

     


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